Mardi 24 novembre 2015, à 18 h à l’ISEPP
Venez découvrir comment les nouvelles techniques médicales permettent à 35% des couples qui demandent une Assistance Médicale à la Procréation d’accéder enfin à la parentalité.
Le monde moderne soumet nos systèmes reproducteurs à des agressions de plus en plus nombreuses. Pesticides, pollution atmosphérique, alimentation déséquilibrée, tabac etc. sont autant de facteurs perturbateurs qui impactent sévèrement la fertilité des individus, et notamment des hommes.
Chez la femme, de plus, les maladies gynécologiques mal soignées ou dépistées tardivement s’ajoutent parfois au fait que les couples se forment plus tard, retardant d’autant le désir de grossesse.
Le constat est que chez les Humains, un couple sur six se voit confronté à un problème d’hypo-fécondité, d’infertilité. Les jeunes couples ne sont pas épargnés et la difficulté d’accession à la parentalité est à l’origine de détresses parfois profondes. Après plusieurs mois de tentatives, la honte, la culpabilité, la fatalité s’installent.
Aujourd’hui, les tabous tombent. Grâce aux nouvelles techniques d’Assistance Médicale à la Procréation, devenir mère, devenir père redevient possible.
Le Dr. Clotilde Dechanet, médecin gynécologue et le Dr. Émilie Grange, médecin biologiste, toutes deux spécialisées dans les techniques d’Assistance Médicale à la Procréation à Nouméa, nous dévoilent ce soir comment les progrès de la médecine permettent à de nombreux couples de voir aboutir leur projet parental et fonder enfin une famille.